Nous lisons le numéro 114:
114. “Je prévois bien des bêtes frémissantes, qui viennent en
furie pour déchirer avec leurs dents diaboliques ce petit écrit et celui dont
le Saint-Esprit s'est servi pour l'écrire, ou du moins pour l'envelopper dans
les ténèbres et le silence d'un coffre, afin qu'il ne paraisse point; ils
attaqueront même et persécuteront ceux et celles qui le liront et réduiront en
pratique. Mais n'importe! mais tant mieux! Cette vue m'encourage et me fait espérer
un grand succès, c'est-à-dire un grand escadron de braves et vaillants soldats
de Jésus et de Marie, de l'un et l'autre sexe, pour combattre le monde, le
diable et la nature corrompue, dans les temps périlleux qui vont arriver plus
que jamais".
Et il termine par deux citation bibliques qui
appellent à la réflexion : “Que celui qui lit, comprenne” ; “Que
celui qui peut comprendre comprenne.”
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