Avec des images -puisées ci et là dans les évangiles - Montfort décrit la vocation du baptisé. Par son oui il est devenu librement le collaborateur de Jésus-Christ. Ici, il cite à nouveau un passage que nous ne devons pas survoler trop vite.
Nous lisons au numéro 68 dans 'La Vraie Dévotion':
"... C'est pour la même raison que le Saint-Esprit nous compare à des arbres plantés le long des eaux de la grâce, dans le champ de l'Eglise, qui doivent donner leurs fruits en leur temps; aux branches d'une vigne dont Jésus-Christ est le cep, qui doivent rapporter de bons raisins; à un troupeau dont Jésus-Christ est le pasteur, qui doit se multiplier et donner du lait; à une bonne terre dont Dieu est le laboureur et dans laquelle la semence se multiplie et rapporte trente, soixante ou cent pour un. Jésus-Christ a donné sa malédiction au figuier stérile et au serviteur inutile qui n'avait pas fait valoir son talent. Tout cela nous prouve que Jésus-Christ veut recevoir quelques fruits de nos chétives personnes: nos bonnes oeuvres..."
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